À l’heure actuelle, aucun traitement ne guérit la maladie. Certains médicaments peuvent parfois améliorer la qualité de vie de la personne, diminuer les symptômes de la maladie, voire ralentir son évolution.
Outre l’activité physique qui dynamise et aide à conserver les capacités motrices, la prise en charge psycho-comportementale, axée sur la mémoire et sur la socialisation, est indispensable.
Cet accompagnement relationnel fait appel à de nombreuses disciplines : ergothérapie, psychologie, orthophonie… et vise prioritairement à préserver le plus longtemps possible les capacités de l’individu et ainsi à améliorer sa qualité de vie.
Certaines interventions se font en collaboration avec le conjoint ou les proches, pour qu’ils puissent poursuivre à domicile les exercices proposés.
Si la famille, et les aidants, jouent toujours un rôle important, notamment dans le soutien social, la maladie d’Alzheimer nécessite des aides multiples qui conduisent parfois au placement en institution. Les associations dans le domaine apportent une aide précieuse à la personne et/ou à son entourage.