Avec le printemps, le cauchemar recommence pour les 10 à 20% de la population qui souffrent d’allergies aux pollens, heureusement, il existe des moyens efficace pour se préserver du fameux rhume des foins.

Reconnaître les symptômes

Lorsque les beaux jours arrivent, les personnes allergiques au pollen présentent les mêmes symptômes. Elles éternuent, leur nez coule, se bouche et gratte furieusement. En même temps, leurs yeux deviennent rouges, larmoient et démangent, tout comme leur palais et leurs oreilles.

Ces manifestations sont le signe d’une rhinite allergique, qui s’accompagne parfois d’une conjonctivite et, dans les cas les plus sévères, d’un asthme caractérisé par des épisodes de toux, d’essoufflement et de sifflements. Les personnes touchées dorment mal et n’ont pas envie de sortir pendant ces périodes pourtant propices aux promenades printanières.

Parlez-en à votre médecin

En cas de symptômes, il faut rester vigilants et ne pas les négliger, car ils peuvent s’aggraver. De nombreux traitements existent, alors n’hésitez pas à en parler à un professionnel de santé, médecin ou pharmacien. Pour connaître, dans votre région, les risques allergiques par pollinisation, consultez le site du Réseau National de Surveillance Aérobiologique : www.pollens.fr

 

– Justine Quénu